Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

L'Ame d'une Plume

L'Ame d'une Plume
Derniers commentaires
L'Ame d'une Plume
17 novembre 2008

Yukimaru' story.

Voici un vieux BackGround. I- Neige C'était une nuit comme les autres. Au centre du village, il y avait ce feu qui illuminait le visage des enfants qui étaient venus écouter les histoires du Sage. Le temps avait creusé ses joues, et avait fait de lui une belle proie pour la vieillesse. Derrière son visage âgée, se cachait un immense savoir. D'une voix experte, il avait amené les enfants à l'attention. "Séparé du continent, séparé par la mer, bien au-delà des terres que nous connaissons, existait une île enneigée. En cette île où tombait souvent la neige, il y avait un village. Il ne connaissait ni la peur de la mort, ni la joie de vivre. Dés leur plus jeune âge, les enfants étaient entraînés au combat." D'un geste lent et expérimenté, il avait ramené les enfants à la réalité. "Imaginez vous à la place de l'un d'eux. Le matin, ils couraient dans la neige afin d'aller pêcher, le midi, ils ne mangeait que s'ils avaient eu une prise. Et jusqu'au soir, ils apprenaient l'art du combat pour survivre. Est ce que ça vous aurait plus de vivre comme ça les enfants?" - Nonnnn répondirent en coeur les enfants. "C'est bien ce que je pensais" reprit il en rigolant. D'une voix envoûtante, il poursuivait son récit avec passion. "Mère nature n'avait pas gâté ses enfants ce jour là. En effet, le vent qui soufflait au delà des terres avait ramené un mystérieux mal. La maladie était à l'image du lieu : douce et tendre. La fatigue, de plus en plus forte, de plus en plus lourde, jusqu'au jour où le malade ne s'éveillait plus. Mort, le sourire aux lèvres remplit de fierté pour son village. Tous s'endormirent ainsi pour ne plus s'éveiller. Tous, sauf une enfant. Jeune et insouciante, elle ne comprit pas. Jeune et forte, elle enterra seule chacun de ses siens. La neige, fut synonyme de douceur depuis ce jour. Il est même dit que la neige tombe, en mémoire de ces grands Shinobi d'entant." II- Douceur "La douceur est éphémère, Mais mère de sûreté. La tristesse est réalité, Dont la douceur est mère." "Bien des années avaient passé depuis l'incident. L'enfant, où devrai-je plutôt dire, la jeune fille, avait grandit dans la solitude. Seule, elle écoutait la douceur de la voix du vent. Seule, elle avait prit conscience de chaque bruit qui faisait partie de le tintement de la voix de notre mère nature." "De silhouette menu et fine, elle avait un visage arrondis. Ses gros yeux écarquillés montrer toute sa volonté, ainsi qu'une légère naïveté. Sa bouche était fine tel celle d'une enfant qui découvrait encore le monde. Ses vêtements cachait les brûlures et les cicatrice de son vécu. Sa peau, d'une blancheur immaculé et ses cheveux d'une noirceur obscure, comme ses yeux, faisait penser à une poupée conçu pour petite fille. Elle avait vécu dans la neige après tout. Son nom? Elle ne s'en rappelé plus. Elle avait prit le nom de Yukimaru du fait de son lieu natal." "Pour accompagner le vent, elle jouait. Elle avait prit pour habitude de joué chaque soir, une mélodie avec sa flûte, qu'elle avait soigneusement conçu avec un bambou. Elle jouait, non pas pour le plaisir, mais par mélancolie. Une mélopée douce et sage, pour accompagner l'esprit de ses anciens compagnons de vie." The time is past, my mind is fallen. Now, I play with the wind, and I'm remember: The spirit are always with me... Couleur_Decors_Bambouserai Bambouserai. Par moi meme. (couleur et dessin) (2007)
Publicité
4 septembre 2008

Elle

Petit Background d'une Gypsy sur Ragnarok Online. Elle s'appelle Etna. Je ne suis pas fan du style que j'ai adopté pour l'écrire, mais j'espere tout de même qu'il vous plaira. (Croquis à venir) Elle Comme les flammes, elle danse gracieusement jusqu'à l’estompement de la moindre étincelle de joie. Comme la neige, elle apaise la tristesse d’un cœur, jusqu'à lui faire oublier ses pêchers. Comme la terre, ses mouvements peuvent être rudes, jusqu'au bercement du vent. Tel la feuille emporté et dansant au vent, elle s’emporte jusqu'au pied de son prochain. Comme la pluie, elle peut amener tristesse et mélancolie quand bon lui semble. Comme un démon, elle arrive à ôter tout sentiment d’un cœur, et le dévorer de l’intérieur. Comme un ange, elle peut rendre espoir à un être abject. Comme une vipère, elle vous enchaine votre âme, et au plus profond d’elle, la gardera jusqu'à épuisement. Le vert est sa couleur. Le rouge est sa fureur. Etna, tel le volcan, vous apportera tristesse, au moment où vous ne l’attendrez plus. Le crépitement du bois dans le feu laisse une odeur chaleureuse, lorsque ce dernier ne brûlera pas le doux foyer auxquels vous tenez. Elle est issue la communion de deux âmes aimante. Elle est issue de l’union de deux corps brûlant de passion. Elle est issue de l’amour de deux êtres. Elle est devenue la corruption même de ses deux personnes. Elle est devenue l’erreur que deux vivants voulant se cacher. La peur amène la terreur. La terreur amène la folie. Et la folie emporte la joie. Lorsque la joie n’y est plus, tout devient fade. Fade, triste, mélancolie. La mort de deux êtres chers peut devenir un crime aux yeux de tous. Aussi glacial que la mort elle-même, Aussi chaleureux qu’un simple feu de bois, Aussi traitre que le vent, Que peut se cacher derrière un simple sourire ? Nul ne le sait… Au simple tintement de ses pas sur le plancher, je la vois se rapprocher de moi, voilant son visage par des milliers de drapés, flottant et dansant autour d’elle. Elle m’observe avec son sourire malicieux, et moi, je me laisse emporter par le sommeil, encore chaleureux où mes mots se prononce. Chaque mouvements et pas racontent une histoire. Quel triste danse…
24 août 2008

Journal d'un cobaye - Agape Keema -

Le texte ci-dessous est le fruit d'une recherche que j'ai effectuer pour créer un tout nouveau personnage. Afin de créer le personnage, il me fallais lui écrire un Background (Son Histoire si vous préferez). Voici le résultat de son histoire, en esperant que celle ci vous plaira. (Je m'en suis servit pour un Jeu de Rôle également). Petite explication: Le personnage est une nymphe à la base. Minuet_of_Forest_by_yumedust Journal d'un cobaye - Agape Keema - C'était un petit livret, salit par la terre, et rongé par les mites. Les scientifiques disent l'avoir trouvé dans un cipres, et affirme que ce dernier n'a pas était créer par l'une des civilisations de nos jours. Si on l'ouvre, on remarque facilement que ce dernier date d'il y à très longtemps. Il était couvert de petites taches d'encre noir et de résine, trouvable dans les bois. La première page représentait un petit dessin, représentant un arbre, avec un soleil et une rivière. Lorsqu'on l'ouvrait à la fin, il y avait se même dessin, effacé par le temps, mais représentant cette fois, le même environnement, détruit. L'arbre était devenue souche, et la rivière devenue asséchée. Mais revenons-en au début du livre. Les pages étaient numérotées, de la première à la dernière. Il y avait aussi quelques une qui manquaient à l'appelle, ou simplement qui était prise par le temps, et dans l'oublie, donc un effacement de mots et de lignes. Le texte commençait à la page numéro trois. Le cahier était tenu comme un élève d'école de nos jours. L'écriture était un amas de signes orthogonales aux courbes manuscrites. Tantôt les sigles était carré, avec les courbes qui les parcouraient, tantôt elles était plates, et arrondis aux extrémité. Les archéologues ont eues énormément de mal à le traduire. Page 3 : « D'abord il y a les cieux, signifiant la liberté. Ensuite il y a l'océan, qui lui est immensément grand. Et moi, serais-je un jour aussi grande que l'océan et aussi libre que le ciel ? Je ne comprend pas. C'est injuste. Est ce que mère nature savait tous cela ? Est ce qu'elle savait qu'elle m'avait créer comme un désert rouge écarlate ? L'harmonieux océan est magnifique. Bleu comme le ciel, mais aussi vide qu'un trou noir. Mère nature ? Où sont mes parents ? Pourquoi ai-je toujours vécu seule ? Et cette voix ? Cette voix qui disparaît avec la forêt, d'où vient-elle ? Plus l'étranger en blanc approche, et cette voix tremble de peur. J'ai peur moi aussi. Bientôt, je ne me souviendrais plus. Bientôt, je ne sentirais plus. Bientôt, la lumière s'éteindra, et là, je ferais mon… » La suite du texte est couverte d'une épaisse tache rougeâtre. C'est illisible. En tournant la page, on peut remarquer une légère amélioration dans l'écriture. C'est comme-ci l'auteur l'avait reprit un mois ou deux plus tard. Page 4 : « Je cours depuis plusieurs jours maintenant. La forêt se meurt, je n'entend plus de voix, juste des pleurs. J'ai parlé avec un étranger. Je n'arrivais pas à comprendre ce qu'il disait. Ne lui a t'on jamais appris à parler ? Je les aimes pas de toute manière. Ils détruise nos forêts. Les esprits ne sont plus maintenant à cause d'eux. Ils ont dit qu'ils étaient avec moi, pourtant. » Le texte s'arrête ici. Les pages suivantes sont soit déchiré, soit effacé par le temps. Page 7 : « …caché………….. ….détruite…………. …….. colère…. …… venger …. » Page 8 : « …ache… …… ………….. compl……. ….. » Page 11 : « Je suis toujours traqué dans les bois. Ces humains n'hésites pas a tout dévaster afin de m'obtenir. Cela fait plusieurs jours depuis ma rencontre avec l'………………………. et mon estomac cris toujours famine. La souche dans laquelle je suis cachée est humble et humide. La fissure par laquelle je rentre est à peine visible pour un nomade. Est ce une caractéristique de mon père ? Ou bien est ce de ma mère ? Suis-je bête… Je n'ai pas de parents réels… Je ne suis juste qu'un assemblement d'es……………forêt, c'est tout. C'est pour ça que l'on compte autant sur moi, parmi les dernières voix non éteintes des arbres. …………………. certaines parties de mon corps ne réagisse plus. Serait-ce à cause de mon eau rouge qui tombe hors de moi ? Ca fait mal, les étrangers m'ont fait ça et j'ai eu peur. Si peur qu'il m'a fallut fuir……………….couvert………………………….nauséabonde……» Le bas de la page s'effrite au fil du temps, c'est illisible. Page 12 : « Je fui. J'ai poussé l'étranger blanc ou plutôt rouge maintenant contre un arbre parce qu'il m'avait saisi. Je suis faible, mais il s'est arrêté de bouger. Il devait être pétrifié pour être paralysé ainsi avec son épaisse branche d'arbre qui le traversait……………………traversé de….forêt……..désert face à moi. Je vais maintenant m'endormir, sous la …sion de la pluie…. » La suite des pages sont boueuses. L'eau et le sable ont du avoir raison d'elles. Nous passons donc à la page à peu près lisible, la vingt-cinquième. Page 25 : « ……verte……rouge……pâle……mon organisme prend toute sorte d'ampleur, et je ne comprend toujours pas le langage des étrangers. Je n'entend plus la forêt, tout est blanc, et une substance rigide et invisible m'empêche d'aller au delà, mais au moins, mon ventre ne cris plus. Parfois, l'un d'eux essaye de communiquer avec moi avec des images et ses sons qui sortent de sa bouche. Je sais que l'une des images retint toujours mon attention. Elle représente un arbre, ce qui me fait penser à mon chez moi. Souvent, je me sens triste en la voyant. J'ai même une goutte d'eau salé qui tombe de mon --il. Il appelle cela « tree » je crois. Souvent, ils arrivent après et m'attache sur un truc froid, où j'y suis allongée. Les soleils artificiel me font mal aux yeux, et eux, les étranger masqué de blanc, me regarde et me découpe. Je ne sens rien, mais c'est gênant…. » Page 26 : « Mes cicatrices se ferment rapidement. C'est bien. J'aime pas me faire regarder comme ils le font. D'ailleurs, tous ces soleils artificiels ne s'éteignent jamais. C'est bien, il fait toujours jour ici. Je suis dés…enté. Ah ? Mon écor.. d.arb… s'asseche. Je ne peux plus.....rire. Je vais q……. me essay….. ……………………………………… ………… …………………………………………. » L'écriture devient de plus en plus opaque. La page 27 est une écriture un peu plus contemporaine, tel que la notre. Il semble qu'entre ces deux pages, qu'il y ai eu à peu près une semaine d'écart. Si cela est vrai, il s'avère que le cobaye ait très vite appris notre langage. Qu'est-elle ? On peut remarquer que l'encre apposé sur le papier est rouge. Page 27 : « Maintenant j'arrive à comprendre leurs dires. Humain, Elfe ou quoi que ce soit d'autre, ils sont faibles et trop curieux. Aujourd'hui, je les ai allongé par terre, il n'y avait pas assez de « chaise » en fer. Je les ai donc ausculté à mon tour. C'est fou tout le désordre qui y a, à l'intérieur ! C'est bien, j'ai pu emprunter un peu de leur eaux rouge pour écrire, ils étaient d'accord, enfin, sans me répondre, j'ai donc supposé qu'ils l'étaient. Ensuite, je les ai recouds, mais leurs liquide rougeâtre n'ont cessé de couler. Cette fois, le mur invisible ou plutôt, la « vitre » était toujours ouverte, je suis donc partie………mon corps est sale, il me falliait me laver……….. » Page 28 : « Les villes Humaines sont grande, et moche, mais sophistiqué. Quand à leurs odeur, l'air n'ai pas des plus pur. En parlant d'odeur, mon carnet commence à sentir la moisissure mêlé au sang, c'est infect. » Le reste des pages du cahier ont étés arracher. Il n'en reste qu'un nombre minime sur la fin. Page 51 : L'écriture est faite d'encre noir, tout ce qu'il y a de plus normal. La forme des lettres est plutôt manuscrite, à épaisseur normal. Une légère dyslexie peut être, et encore… « Le temps m'emporte… Je me suis tellement habitué au monde humain que je n'arrive plus a me relire à mes première page. Je ne sais même plus ce que je suis. J'ai une capacité à vite apprendre les choses impressionnantes, mais en revanche, j'ai tendance à oublier… J'ai une chose implanté dans ma moelle épinière pour me maintenir en équilibre. Il parait que j'ai un organisme qui ne peux pas supporter la ville, je perd donc l'équilibre à tous moment. Pourtant, je ne le ressent pas, est ce la vérité cette histoire de puce ? Je ne sais plus en réalité ce qui s'est passé… Je veux me rappeler, je veux savoir… » Page 52 : « … Et je saurais. J'ai participé à la vie active d'une université. Ils m'ont attribué la spécialité « magie »…pff… ennuyant. J'ai néanmoins réussi mes examens pour devenir une chercheuse dite « archéologue » ou un truc du genre. Je suis prête, je découvrirai mon vrai moi, j'en suis sûre. » Et là, le carnet semble terminer. Il reste néanmoins des pages blanches au derrière, mais elle ne semble pas avoir pu le poursuivre. - C'est bien elle, quel est son numéro ? - 0104 Monsieur. Elle a emprunté l'identité de « Agape KEEMA » - Bien, nous l'avons enfin retrouvé…
24 août 2008

Red Room

Powa, ca faisait un bail que j'ai pas joué à écrire le récit sur ma vie! Mais c'est pas aujourd'hui que je vais commencer. ^^" Bon j'ai fait mes 20 ans le 15 Août, c'est cool, une autre décénie, je me rapproche encore vers un dodo sans réveil. Mais c'est pas valable que pour moi, alors, c'est rassurant. ^^ En ce moment je travaille, vraiment cool hein? On s'en fout que je travaille, ou que je suis sur mon PC parce que je m'ennui ! Je crois même que j'ai mangé des pattes ce midi, interessant? Non... Du tout, aucun interet à raconter cela... CIMG1148 Cette semaine, je n'ai malheureusement pas de coup de gueule à pousser, ou rien de bien interessant a raconter. (j'ai jamais de choses interessante à dire, mais on va faire tous comme...) Alors je présente une petit croqui que j'ai fais à la va vite. ^^ Matos utilisé: Stylo encre, 4 Feutres.
12 août 2008

Association Sekai

1610606374 L'association Sekai a pour objetif de faire découvrir la culture japonaise et plus particulièrement les manga ainsi que l'animation. Elle fut créée par 5 étudiants passionés en septembre 2005 souhaitant partager avec un maximum de personnes, cet amour pour cette culture encore méconnue de nos jours en France. Il fallait que j'en parle, forcément, j'en fais partis. ^^ Alors voici le lien de l'association: http://asso-sekai.info/index.php
Publicité
10 août 2008

Doux Cristal

edi_01l © Takehito Harada Que signifie vivre ? D'après les dictionnaires, vivre n'a pas de réel sens. Ils expliquent tous la même chose. Mais quel est ce réel sens ? Est-ce un souffle de vie qui s'estompe peu à peu ? Mais qu'est ce un souffle de vie ? Toutes ces questions me laisse perplexe. Tout ce que je comprend, c'est que je suis vivant. De quoi ai-je peur ? Sombrer dans l'oublie lorsque je m'éteindrais ? Peut être. L'être humain gaspille sa « vie » sans raison. Il oublie avec le temps, il souffre avec la peur, et même il en pense à ce suicider en espérant ne pas se faire oublier. C'est comme un objet cher. On l'aime, puis on le délaisse sans y prêter attention. Mais j'y pense, comment vivez-vous ? Est ce que vous préférez fuir devant des réalité qui vous blesse ? Ou est ce que vous préférez les affronter ? Avez vous déjà songé à la grenouille au fond de son puit qui observe le ciel ? Une histoire amusante, parce que personne ne sait ce qu'elle est devenue. Peut être préfère t-elle fuir la réalité, ou alors elle préfère la vivre ? Laisser autrui s'éloigné, et puis de peur qu'il nous oublie, l'empoigner de force. Ou simplement le regarder en silence ; en souffrant dans son coin. La solitude est humaine. La jalousie, les maux… tous sont au même niveau. La vie est un défis à relever ou la vie est un jeu à jouer ? Selon moi, jeu ou défis, il faut en profiter avant de s'éteindre. Après tout, le temps est injuste, vous savez ? Il emporte les souvenirs, les maux, et les joies avec lui. C'est comme une fleur qui s'épanouit, et qui résiste durant le rude hiver. Arrivé au printemps, elle meurt par la fatigue. Mais en aucun cas elle a abandonné pendant la froide période. Nous vivons un piège de cristal. La moindre égratignure nous brise en morceau. Mais pourtant, comme la petite fleur, il faut vivre avec. (Ce texte date un petit peu. Mais je trouvais judicieux de le ressortir. Date: 02 déc 2007)
8 août 2008

Simple and clean

guest5 © Kim Hyung Tae Je l'ai fais. Un simple clique, puis quelques minutes de reflexion. Puis le voila, devant vous, le fruit de nombreuses recherches: Un Blog. C'est banal, n'est ce pas? Comme toute vie à raconter, la mienne est tout aussi banale que la petite Hélene qui raconte qu'elle à mangé des fraises tagada en repas du midi. Je suis finalement pret à essayer. Lorsque je regarde autour de moi, j'entend des discutions autours des blogs en général. A croire que ça a changer leur vie. C'est comme les compte de fée, où la princesse épouse un prince charmant, puis voit la vie en rose. Là c'est pareil. On fait un blog, et hop, il fait tout rose, c'est bien un blog: Je peux tout dire, et on va me lire, et m'aider. Ah, c'est formidable, ce que ca a changer ma vie ! ou pas... Certainnes personnes sont fortes, elles arrivent à tenir plusieurs blog en même temps. Comme ca, on peut raconter plusieurs facettes de sa vie. "Celui ci sera pour dire ce que j'aime, celui ci pour raconté ce que j'ai mangé, et celui ci pour dire que Lolita ma petite soeur est méchante avec moi." C'est impressionnant ce qu'on peut raconter comme salades... De plus, ceux qui écrivent ça sont généralement des demis-humains, qui ont raté la marche de l'évolution. On peut donc facilement trouver des exemples tordant dans le genre: "C 1 foto d'mwa. Chui pa konv1cu qu'L é b1 priseu." Dans le genre "Moi Tarzan, toi Jane", il n'y a guere mieux. La langue Française se perd. Le blog est l'oeuvre d'un démon surpuissant. Immaginez le mec: "Nous allons révolutionner le monde. Un moteur pour creer un blog, afin de raconter sa vie!" Je donne pas cher payé pour avoir son nom à ce type là. En tout cas, je le remercie, car grace à lui, il a souiller le monde avec son invention... Imaginez dans quelques années? Les collegiens auront une nouvelle matière à la place du français: "Cours de blog". Ils pourront raconter leur vie sans cesse, comme quoi qu'elle est si mélancolique, car maman aurait oublié de sortir le chien à sa place. Pauvre enfant. Nous t'écoutons et compatissons. Puis en devoir, les professeurs donneront des choses dans le genre: "Pour demain, je veux que vous me racontez ce que vous avez mangé ce midi. C'est un devoir noté, et je rappelle que le langage SMS est autorisé." Rahh, l'horreur... Notre noble langue se perd. C'est l'oeuvre d'un démon je vous dis! Certes, après ce petit coup de gueule, j'ose dire que je ferai de mon mieux pour accorder un peu de mon temps à ce modeste blog. A ceux et celle qui m'ont lu jusqu'au bout, je vous en remercie. Bienvenue.
Publicité
Publicité
Archives
Publicité