Le texte ci-dessous est le fruit d'une recherche que j'ai effectuer pour créer un tout nouveau personnage. Afin de créer le personnage, il me fallais lui écrire un Background (Son Histoire si vous préferez). Voici le résultat de son histoire, en esperant que celle ci vous plaira. (Je m'en suis servit pour un Jeu de Rôle également).
Petite explication: Le personnage est une nymphe à la base.
Journal d'un cobaye - Agape Keema -
C'était un petit livret, salit par la terre, et rongé par les mites. Les scientifiques disent l'avoir trouvé dans un cipres, et affirme que ce dernier n'a pas était créer par l'une des civilisations de nos jours. Si on l'ouvre, on remarque facilement que ce dernier date d'il y à très longtemps. Il était couvert de petites taches d'encre noir et de résine, trouvable dans les bois.
La première page représentait un petit dessin, représentant un arbre, avec un soleil et une rivière. Lorsqu'on l'ouvrait à la fin, il y avait se même dessin, effacé par le temps, mais représentant cette fois, le même environnement, détruit. L'arbre était devenue souche, et la rivière devenue asséchée. Mais revenons-en au début du livre.
Les pages étaient numérotées, de la première à la dernière. Il y avait aussi quelques une qui manquaient à l'appelle, ou simplement qui était prise par le temps, et dans l'oublie, donc un effacement de mots et de lignes. Le texte commençait à la page numéro trois. Le cahier était tenu comme un élève d'école de nos jours. L'écriture était un amas de signes orthogonales aux courbes manuscrites. Tantôt les sigles était carré, avec les courbes qui les parcouraient, tantôt elles était plates, et arrondis aux extrémité. Les archéologues ont eues énormément de mal à le traduire.
Page 3 :
« D'abord il y a les cieux, signifiant la liberté. Ensuite il y a l'océan, qui lui est immensément grand. Et moi, serais-je un jour aussi grande que l'océan et aussi libre que le ciel ? Je ne comprend pas. C'est injuste. Est ce que mère nature savait tous cela ? Est ce qu'elle savait qu'elle m'avait créer comme un désert rouge écarlate ? L'harmonieux océan est magnifique. Bleu comme le ciel, mais aussi vide qu'un trou noir. Mère nature ? Où sont mes parents ? Pourquoi ai-je toujours vécu seule ? Et cette voix ? Cette voix qui disparaît avec la forêt, d'où vient-elle ? Plus l'étranger en blanc approche, et cette voix tremble de peur. J'ai peur moi aussi. Bientôt, je ne me souviendrais plus. Bientôt, je ne sentirais plus. Bientôt, la lumière s'éteindra, et là, je ferais mon… » La suite du texte est couverte d'une épaisse tache rougeâtre. C'est illisible. En tournant la page, on peut remarquer une légère amélioration dans l'écriture. C'est comme-ci l'auteur l'avait reprit un mois ou deux plus tard.
Page 4 :
« Je cours depuis plusieurs jours maintenant. La forêt se meurt, je n'entend plus de voix, juste des pleurs. J'ai parlé avec un étranger. Je n'arrivais pas à comprendre ce qu'il disait. Ne lui a t'on jamais appris à parler ? Je les aimes pas de toute manière. Ils détruise nos forêts. Les esprits ne sont plus maintenant à cause d'eux. Ils ont dit qu'ils étaient avec moi, pourtant. » Le texte s'arrête ici. Les pages suivantes sont soit déchiré, soit effacé par le temps.
Page 7 :
« …caché………….. ….détruite…………. …….. colère…. …… venger …. »
Page 8 :
« …ache… …… ………….. compl……. ….. »
Page 11 :
« Je suis toujours traqué dans les bois. Ces humains n'hésites pas a tout dévaster afin de m'obtenir. Cela fait plusieurs jours depuis ma rencontre avec l'………………………. et mon estomac cris toujours famine. La souche dans laquelle je suis cachée est humble et humide. La fissure par laquelle je rentre est à peine visible pour un nomade. Est ce une caractéristique de mon père ? Ou bien est ce de ma mère ? Suis-je bête… Je n'ai pas de parents réels… Je ne suis juste qu'un assemblement d'es……………forêt, c'est tout. C'est pour ça que l'on compte autant sur moi, parmi les dernières voix non éteintes des arbres. …………………. certaines parties de mon corps ne réagisse plus. Serait-ce à cause de mon eau rouge qui tombe hors de moi ? Ca fait mal, les étrangers m'ont fait ça et j'ai eu peur. Si peur qu'il m'a fallut fuir……………….couvert………………………….nauséabonde……» Le bas de la page s'effrite au fil du temps, c'est illisible.
Page 12 :
« Je fui. J'ai poussé l'étranger blanc ou plutôt rouge maintenant contre un arbre parce qu'il m'avait saisi. Je suis faible, mais il s'est arrêté de bouger. Il devait être pétrifié pour être paralysé ainsi avec son épaisse branche d'arbre qui le traversait……………………traversé de….forêt……..désert face à moi. Je vais maintenant m'endormir, sous la …sion de la pluie…. »
La suite des pages sont boueuses. L'eau et le sable ont du avoir raison d'elles. Nous passons donc à la page à peu près lisible, la vingt-cinquième.
Page 25 :
« ……verte……rouge……pâle……mon organisme prend toute sorte d'ampleur, et je ne comprend toujours pas le langage des étrangers. Je n'entend plus la forêt, tout est blanc, et une substance rigide et invisible m'empêche d'aller au delà, mais au moins, mon ventre ne cris plus. Parfois, l'un d'eux essaye de communiquer avec moi avec des images et ses sons qui sortent de sa bouche. Je sais que l'une des images retint toujours mon attention. Elle représente un arbre, ce qui me fait penser à mon chez moi. Souvent, je me sens triste en la voyant. J'ai même une goutte d'eau salé qui tombe de mon --il. Il appelle cela « tree » je crois. Souvent, ils arrivent après et m'attache sur un truc froid, où j'y suis allongée. Les soleils artificiel me font mal aux yeux, et eux, les étranger masqué de blanc, me regarde et me découpe. Je ne sens rien, mais c'est gênant…. »
Page 26 :
« Mes cicatrices se ferment rapidement. C'est bien. J'aime pas me faire regarder comme ils le font. D'ailleurs, tous ces soleils artificiels ne s'éteignent jamais. C'est bien, il fait toujours jour ici. Je suis dés…enté. Ah ? Mon écor.. d.arb… s'asseche. Je ne peux plus.....rire. Je vais q……. me essay….. ……………………………………… ………… …………………………………………. » L'écriture devient de plus en plus opaque.
La page 27 est une écriture un peu plus contemporaine, tel que la notre. Il semble qu'entre ces deux pages, qu'il y ai eu à peu près une semaine d'écart. Si cela est vrai, il s'avère que le cobaye ait très vite appris notre langage. Qu'est-elle ? On peut remarquer que l'encre apposé sur le papier est rouge.
Page 27 :
« Maintenant j'arrive à comprendre leurs dires. Humain, Elfe ou quoi que ce soit d'autre, ils sont faibles et trop curieux. Aujourd'hui, je les ai allongé par terre, il n'y avait pas assez de « chaise » en fer. Je les ai donc ausculté à mon tour. C'est fou tout le désordre qui y a, à l'intérieur ! C'est bien, j'ai pu emprunter un peu de leur eaux rouge pour écrire, ils étaient d'accord, enfin, sans me répondre, j'ai donc supposé qu'ils l'étaient. Ensuite, je les ai recouds, mais leurs liquide rougeâtre n'ont cessé de couler. Cette fois, le mur invisible ou plutôt, la « vitre » était toujours ouverte, je suis donc partie………mon corps est sale, il me falliait me laver……….. »
Page 28 :
« Les villes Humaines sont grande, et moche, mais sophistiqué. Quand à leurs odeur, l'air n'ai pas des plus pur. En parlant d'odeur, mon carnet commence à sentir la moisissure mêlé au sang, c'est infect. » Le reste des pages du cahier ont étés arracher. Il n'en reste qu'un nombre minime sur la fin.
Page 51 :
L'écriture est faite d'encre noir, tout ce qu'il y a de plus normal. La forme des lettres est plutôt manuscrite, à épaisseur normal. Une légère dyslexie peut être, et encore…
« Le temps m'emporte… Je me suis tellement habitué au monde humain que je n'arrive plus a me relire à mes première page. Je ne sais même plus ce que je suis. J'ai une capacité à vite apprendre les choses impressionnantes, mais en revanche, j'ai tendance à oublier… J'ai une chose implanté dans ma moelle épinière pour me maintenir en équilibre. Il parait que j'ai un organisme qui ne peux pas supporter la ville, je perd donc l'équilibre à tous moment. Pourtant, je ne le ressent pas, est ce la vérité cette histoire de puce ? Je ne sais plus en réalité ce qui s'est passé… Je veux me rappeler, je veux savoir… »
Page 52 :
« … Et je saurais. J'ai participé à la vie active d'une université. Ils m'ont attribué la spécialité « magie »…pff… ennuyant. J'ai néanmoins réussi mes examens pour devenir une chercheuse dite « archéologue » ou un truc du genre. Je suis prête, je découvrirai mon vrai moi, j'en suis sûre. »
Et là, le carnet semble terminer. Il reste néanmoins des pages blanches au derrière, mais elle ne semble pas avoir pu le poursuivre.
- C'est bien elle, quel est son numéro ?
- 0104 Monsieur. Elle a emprunté l'identité de « Agape KEEMA »
- Bien, nous l'avons enfin retrouvé…